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Journée du diabète : un patient sur 2 redoute l'hypoglycémie
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Journée du diabète : un patient sur 2 redoute l'hypoglycémie
Journée du diabète : un patient sur 2 redoute l'hypoglycémie
La moitié des patients diabétiques déclare redouter la survenue d'une hypoglycémie. Une crainte qui les conduit à diminuer leur dose d'insuline sans en parler au médecin.
Il y a quelques jours, une étude montrait que 6 personnes sur 10 atteintes d'une maladie chronique ne suivent pas correctement leur traitement. Les diabétologues le savent bien puisque la moitié de leurs patients sous traitement déclarent redouter la survenue d'une hypoglycémie, et cette crainte conduirait 28% de ces patients à diminuer leur dose d'insuline de leur propre chef.
Ces chiffres sont dévoilés à l'occasion de la Journée mondiale du diabète par le laboratoire Sanofi, qui vient de lancer une enquête d'envergure nationale sur l'utilisation "dans la vraie vie" de l'insuline basale chez les patients diabétiques de type 2.
L'insuline basale, c'est la quantité d'insuline couvrant les besoins de base en insuline. En cas de diabète de type 2, le médecin recommande dans un premier temps de l'exercice physique et un changement de régime alimentaire. Si cela ne suffit pas à contrôler la glycémie, le médecin prescrit des médicaments antidiabétiques. Mais lorsque la maladie évolue, il faut procéder, en plus, à des injections d'insuline avec une seringue ou un stylo.
Une forte appréhension du passage à l'insuline
"Ces dernières années, l'arrivée de nouvelles insulines basales, plus lentes et plus stables, a radicalement changé la vie des patients. Pourtant, il existe toujours une forte appréhension du passage à l'insuline et celle-ci est utilisée de manière sous-optimale" déclare le Pr Serge Halimi, du CHU de Grenoble.
Pour être sûr d'avoir la bonne dose d'insuline, les patients doivent auto-surveiller leur glycémie. Mais l'étude de Sanofi montrent, là aussi, d'importantes lacunes. 38% des patients déclarent ne pas avoir été complètement formés à cette auto-surveillance glycémique, c'est-à-dire à la réaliser et à l'interpréter. D'où un faible niveau d'autonomie complète et, pour certains, la nécessité d'un recours à une infirmière pour l'injection.
Les résultats complets de cet observatoire seront présentés dans la cadre du prochain congrès de la Société francophone du diabète, en mars 2015.
Il y a quelques jours, une étude montrait que 6 personnes sur 10 atteintes d'une maladie chronique ne suivent pas correctement leur traitement. Les diabétologues le savent bien puisque la moitié de leurs patients sous traitement déclarent redouter la survenue d'une hypoglycémie, et cette crainte conduirait 28% de ces patients à diminuer leur dose d'insuline de leur propre chef.
Ces chiffres sont dévoilés à l'occasion de la Journée mondiale du diabète par le laboratoire Sanofi, qui vient de lancer une enquête d'envergure nationale sur l'utilisation "dans la vraie vie" de l'insuline basale chez les patients diabétiques de type 2.
L'insuline basale, c'est la quantité d'insuline couvrant les besoins de base en insuline. En cas de diabète de type 2, le médecin recommande dans un premier temps de l'exercice physique et un changement de régime alimentaire. Si cela ne suffit pas à contrôler la glycémie, le médecin prescrit des médicaments antidiabétiques. Mais lorsque la maladie évolue, il faut procéder, en plus, à des injections d'insuline avec une seringue ou un stylo.
Une forte appréhension du passage à l'insuline
"Ces dernières années, l'arrivée de nouvelles insulines basales, plus lentes et plus stables, a radicalement changé la vie des patients. Pourtant, il existe toujours une forte appréhension du passage à l'insuline et celle-ci est utilisée de manière sous-optimale" déclare le Pr Serge Halimi, du CHU de Grenoble.
Pour être sûr d'avoir la bonne dose d'insuline, les patients doivent auto-surveiller leur glycémie. Mais l'étude de Sanofi montrent, là aussi, d'importantes lacunes. 38% des patients déclarent ne pas avoir été complètement formés à cette auto-surveillance glycémique, c'est-à-dire à la réaliser et à l'interpréter. D'où un faible niveau d'autonomie complète et, pour certains, la nécessité d'un recours à une infirmière pour l'injection.
Les résultats complets de cet observatoire seront présentés dans la cadre du prochain congrès de la Société francophone du diabète, en mars 2015.
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